Aprile, Nanni Moretti

Entre le film et le documentaire, la pudeur et l’exhibitionnisme, le grave et le dérisoire, l’intime et le public, la mélancolie et la fantaisie, le sérieux et le fantasque, l’humour et l’angoisse, mars et mai… Il y aurait « Aprile » ; et Nanni Moretti, funambule sur un fil, fin et tendu au-dessus de l’absurdité du vide. A un mot, un geste près, le ton serait dans l’erreur,

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les mots perdraient de leur justesse et les musiques de leur pittoresque. Des saynètes, à enchaîner dans l’ordre, puis dans le désordre, à l’endroit et à l’envers, poétiquement, sens dessus dessous. Il faut s’oublier, se laisser faire, par les plans et leurs contre-pieds, les répliques et les regards, de ce second journal, encore plus cher et intime que le précédent « Caro diario ». « Aprile » ne ressemble qu’au chaos de nos esprits, celui de nos idées entrechoquées et emmêlées, malgré et grâce à nous. Suivre Nanni, ou pas, mais se laisser guider, plonger dans un univers singulier et profondément jubilatoire.