L’idée cachée derrière

L’erreur est de se fier aux mots, les croire. Dans la vérité même, ils font plus que se tromper, ils induisent en erreur. Hors de la manipulation, loin du mensonge, dans la recherche même de la vérité, ils se trompent et ne sont jamais la pensée brute. Réduire l’espace est une rigueur de chaque instant, et de la peine souvent perdue. Pensez au corps, pensez à l’esprit. A une silhouette, à de la matière grise. A du mouvement, à du raisonnement. A du concret, à de l’abstrait. Il faut bien se fier à quelque chose, alors on s’appuie sur le sens, celui des mots, pour s’échafauder une pensée. Mais si le mot reflète un concept qui n’existe pas, ou qui existe mal ? Si le miroir réfléchit un autre visage que celui de qui se mire à lui ? Voir

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trouble, penser trouble, la netteté échappe alors et les concepts se forgent en nous, faux. S’il n’y avait pas de corps, ni d’esprit, si envisager la dichotomie était juste inenvisageable ; s’il n’y avait rien derrière les sons que disent ces mots, juste l’erreur. Avec le corps et l’esprit, on pense à l’un et à l’autre, jamais à l’ensemble. Et si on ne pense pas à l’ensemble, on oublie l’être, le tout de nous. En s’approchant du miroir, en prenant conscience, on devrait pouvoir ressentir l’entièreté. Ni une harmonie, ni une discorde, ni un accord, ni un décalage ; juste l’être, nu, net. Et sans miroir, cela fonctionne encore. Ni corps, ni esprit, juste l’être. Et quand les mots se trompent au point d’induire en erreur, quand de surcroît ils se jouent de nous enveloppés de rhétorique, il reste la pensée intime pour les interpréter. Les remettre dans leur droit chemin, comme une mise au point de chaque instant.