Andy Burrows, Company
- By Frederic
Le batteur, c’est celui qu’on voit le moins dans un groupe. Sur scène, il est un peu en retrait, assis derrière son bastringue, à opiner de la tête et des baguettes. Parfois, il fait aussi les chœurs. Souvent, dès qu’il faut taquiner d’une autre percussion, c’est lui qui s’y colle. Plus rarement, il se jette dans la lumière. Mais c’est la trajectoire pourtant empruntée par
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Andy Burrows, ancien batteur de Razorlight, aujourd’hui auteur et compositeur en solo.
[symple_testimonial]Je voulais faire un album de chansons. Un disque honnête, avec des mélodies évidentes. C’est pour ça que je l’ai fait sous mon nom : je ne voulais pas de concept, pas de mensonges. Un disque, enfin, qui pourrait vous rappeler ce que vous ressentiez quand vous écoutiez de la musique enfant. J’ai une fille de 4 ans, ça a forcément joué. J’essaie de retrouver cette sensation de la première fois.[/symple_testimonial]
Si je me suis vite attaché au disque, si certaines mélodies méritent plus que nos détours, j’ai encore été séduit de constater que la démarche créative se confondait avec la perception que j’avais eue du disque. Oui, l’album d’Andy Burrows est authentique. Concis, honnête, et inspiré ; ce sont bien les mots que cet album projette sur notre toile. Des couleurs fraîches, via des mélodies efficaces et des textes touchants. Une simplicité de chaque recoin qui manque tellement à ce qui fait notre époque. Le talent n’a pas besoin de la prétention ; le ressentir est une conviction. Le vivre est un soulagement.
Sur la piste six, il y a une phrase, une phrase qui me plait singulièrement. Une poignée de mots, anodins. « He’s only happy when he’s sad. » Quelle bien délicate façon d’évoquer l’ambigüité de la mélancolie, cette amertume sévère ou douce, qui pousse le besoin de ressentir la vie en ses veines à son paroxysme.